Interview Stagiaire : Noah et Louis

Chaque année, nous accueillons de nombreux stagiaires. Cela leur permet de découvrir le fonctionnement d'une Ressourcerie, d'appréhender la relation client et de se sensibiliser sur les enjeux écologiques actuels. L'arrivée de nouveaux stagiaires est également bénéfique pour nous ! C'est l'occasion d'avoir un regard neuf et de créer de la coopération intergénérationnelle. En novembre dernier, c’est Noah et Louis étudiants à l’ESSEC qui nous ont rejoint dans le cadre de leur formation. Ils nous ont fait part de leur expérience à la Ressourcerie.

>> Si vous aussi vous souhaitez faire un stage chez nous, c’est par ici <<

Noah stagiaires Louis stagiaires

Pouvez-vous vous présenter ? 

Noah : Bonjour, je m’appelle Noah, j’ai 20 ans et je suis étudiant à l’ESSEC en programme grande école.

Louis : Bonjour, je m’appelle Louis, j’ai 20 ans et je suis en première année d’étude de commerce à l’ESSEC dans le programme grande école.

Pourquoi avez-vous choisi la ressourcerie comme lieu de stage ?

Noah : Car je suis investi d’une mission écologique de manière générale. De plus, ce stage était lié à une mission sociale qui me tenait à cœur.

Louis : La ressourcerie faisait partie des propositions de stage de l’ESSEC. Ça m’a tout de suite frappé, car je connaissais quand j’étais petit. J’étais très intéressé par le projet de seconde main pour aider des jeunes dans le besoin. Et en termes de trajet, c’était arrangeant pour moi. 

Pouvez-vous nous raconter une anecdote de votre stage ?

Noah : La deuxième semaine du stage, une cliente ayant apprécié mes services en boutique a voulu m’offrir un bracelet !

Louis : Durant la deuxième semaine de mon stage, j’ai ramené une centenaire chez elle. Elle était en déambulateur et ne pouvait donc pas porter le cadre qu’elle venait d’acheter.  Elle est venue me remercier deux jours après et j’ai été très touché.

Qu’est-ce qui vous à le plus marqué à la ressourcerie ?

Noah : Ce qui m’a le plus marqué à la ressourcerie c’est la quantité de vêtements reçus. Il paraît qu’on a assez de vêtements aujourd’hui pour habiller 6 générations, j’ai pu le constater concrètement.

Louis : C’est la quantité des dons. C’est très impressionnant. Il y a également l’ambiance entre les bénévoles qui était très agréable à vivre.

Qu’avez-vous appris, qui pourra t’aider dans ton parcours professionnel ?

Noah : J’ai découvert une grosse dimension de coordination. Je n’avais jamais vu comment encadrer des bénévoles. C’est une manière totalement différente de celle qu’on voit en entreprise, elle est beaucoup plus flexible et à l’écoute des bénévoles. C’est quelque chose qu’il faudrait réinjecter dans le monde du travail.

Louis : Je le savais déjà, mais l’importance de la ponctualité. Une fois, je suis arrivée en retard alors que je devais tenir la caisse de la boutique et en arrivant, j’ai vu que Marc (le responsable) m’avait remplacé. Ça m’a mis mal à l’aise.